Les spécialistes des affaires économiques s’accordent à dire que l’Algérie se situe à l’avant-garde des pays qui possèdent un ensemble d’opportunités d’investissement dans le domaine des énergies conventionnelles et renouvelables, notamment le gaz naturel et non conventionnel, ce qui lui a permis de se classer au troisième rang mondial en termes de de réserves de gaz.
A cet égard, l’expert en énergie Khaled Boukhlifa a confirmé à Radio One l’énorme potentiel que possède l’Algérie dans ce domaine, soulignant dans le même contexte les incitations prévues par la loi sur les hydrocarbures de 2019, qui a encouragé à attirer les investissements étrangers, notamment dans le secteur des hydrocarbures, partie liée aux impôts. Pour sa part, l’expert en énergie Ahmed Tartar a souligné que l’accélération du rythme de l’exploration a renforcé la position de l’Algérie sur les marchés du gaz, d’autant plus que ce matériau a fait l’objet d’une forte demande pour son utilisation dans la production d’énergies renouvelables, ce qui a renforcé les opérations d’exploration, de recherche et d’investigation de la période récente, qui ont conduit à environ 36 explorations de gaz et de pétrole. Le même intervenant a ajouté : “C’est un matériau essentiel pour les sociétés mondiales et moins nocif pour l’environnement. De plus, la tendance est désormais aux énergies renouvelables, et le gaz participe à la formation de ces énergies renouvelables”. Le complexe Sonatrach s’efforce d’inclure de nouvelles technologies modernes dans le processus d’exploration afin d’améliorer le potentiel de production de gaz.
A.A.
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