
Le chef du Centre arabe pour le développement et l’investissement, Amine Boutalebi, a souligné que la concrétisation sur le terrain de ce qui a été approuvé dans le plan d’action du gouvernement peut faire de l’Algérie le pays le plus fort économiquement des pays méditerranéens et africains au cours des trois prochaines années.
M. Boutalebi a lié le succès du plan du gouvernement pour faire avancer l’économie nationale avec rapidité d’exécution, sérieux et fermeté. Prises nécessite de contrôler le temps”, et que “le décollage de notre économie repose sur la rapidité de mise en œuvre et de performance”. Boutalebi a souligné qu’il accordait la priorité à la lutte contre la corruption dans le cadre de la nouvelle loi sur l’investissement : « S’il n’y a pas de détermination, de fermeté et d’audace, nous ne pourrons pas récupérer l’argent et les richesses qui ont été emportés par les pots-de-vin et la corruption », se référant au pillage de la propriété industrielle, qui était estimée à 3 876 hectares d’hectares inutilisés, « a été abandonnée sur 1422 Hectares en 1997 sont en dinars symboliques, et aujourd’hui ils sont revendus en milliards ». L’invité du matin a souligné « la nécessité de publier la loi sur l’investissement car c’est le nerf qui amène l’investisseur étranger en Algérie et donne confiance à l’investisseur local pour déplacer son argent », et il a dit à cet égard, « la nouvelle loi sur l’investissement doit être lancé dans les trois prochaines semaines, tout au plus, car s’il est retardé davantage, nous serons lésés. Avec le secteur privé et public en milliards de dollars. L’Algérie a été choisie en raison de sa sécurité et de son dynamisme qui peut être créatrice de richesse comme elle peut être une porte d’entrée vers l’Afrique. Boutalebi a considéré le soutien à la production agricole comme la deuxième priorité à laquelle le gouvernement devrait prêter attention à l’heure actuelle afin d’atteindre la sécurité alimentaire, et a estimé que « les ministres de l’agriculture et des finances et tous les ministres liés au secteur agricole devraient accélérer les procédures d’octroi facilités aux agriculteurs désireux d’investir dans le sud », soulignant dans le même contexte La crise que traverse le marché algérien par manque de ressources alimentaires peut être résolue en soutenant les investissements agricoles à Adrar, Manea, Ouargla, El Wadi, Timimoun et Tamanrasset. Le chef du Centre arabe pour le développement et l’investissement a appelé à la contemplation de la scène économique africaine, qui est pleine de changements, notamment ce qu’est devenu de nombreux pays africains comme le Ghana, qui devrait devenir le pays africain le plus riche dans les prochaines années, et ce qui se passe au Rwanda ainsi qu’en Angola, qui sont des pays qui ont connu une grande renaissance et ont pu se passer du pétrole comme principale ressource, « c’est ce qui nous pousse à valoriser les incitations à la reprise économique algérienne -off, notamment dans les zones frontalières comme Tindouf et Tamanrasset, qui peuvent se transformer en zones franches et capitales de l’économie africaine dans lesquelles davantage de concessions et d’opportunités d’investissement sont accordées.
A.S.
Poster un Commentaire